Webmaster
Le domaine de la Roseraye, une ancienne sucrerie encore dans son jus
Patrimoine français en péril
La carte des monuments déjà inscrits dans le plan de sauvegarde du patrimoine.
La sucrerie de Soulou parmi les monuments à restaurer
L’ancienne usine sucrière de Soulou retenue par Stéphane Bern
L’usine sucrière de Soulou à M’Tsangamouji fait partie des 18 monuments prioritaires qui auront le droit à une restauration.
Jetons de contrôle pour la paye des ouvriers journaliers (Dzoumogne)
Il y a quelques années ,Philippe Delaygues, (numismate vivant à la REUNION) m'envoyait le document ci dessous.
Il s'agit de jetons destinés a controler la paye des ouvriers sur les sites sucriers.
Je sais qu'ils étaient utilisés aussi comme monnaie auprés des magasins appartenant aux propriétaires des usines , cette monnaie "tournant" ainsi en circuit fermé !!!!
Je n'ai pas trouvé d'archive(s) a propos de ces jetons, si un de nos lecteurs en posséde une elle sera la bienvenue.
"MONNAIES ET JETONS DES COLONIES FRANçAISES", Jean LECOMPTE, éditions Victor Gadoury, 2007
classés à COMORES, page 241
Encore merci à PHILIPPE
Processus de fabrication du sucre à la fin du XIXe siècle (Les turbines ou hydro-extracteurs)
Le rédacteur du site ne peut être tenu responsable de la terminologie et du vocabulaire employés dans ces extraits.

Nous avons peu de chose à dire sur la construction de ces ingénieux appareils, qui sont aujourd'hui bien connus, et qui ont été ailleurs décrits avec beaucoup de détail, d'une part, dans le XI e volume de ce Recueil, qui en fait bien voir l'origine et les premières applications au séchage des tissus (1), et en second lieu dans le xie volume, qui, en montrant le mode d'exécution adopté par la maison Cail et Cie et par d'autres constructeurs, démontre les nombreuses etnouvelles applications que l'on peut en faire dans une foule d'industries. Le 1er volume du Génie industriel a donné également un historique complet sur les divers emplois de ces appareils et a fait connaître les inventeurs qui s'en sont occupés.
Notices coloniales, publiées à l'occasion de l'Exposition universelle d'Anvers en 1885. (3 juin 1885.)
Tiroir de distributeur de moteur à vapeur
Encyclopédie méthodique. Arts et métiers mécaniques.
Extrait de l'encyclopédie consacrée au sucre et à sa fabrication au XVIII éme siècle
Éditeur : Panckoucke (Paris)
Date d'édition : 1782-1791
La Vapeur qui Révolutionna le Monde - Le Fabuleux Destin des Inventions
Les chaudières à bouilleurs ou chaudières françaises
In : "Figuier - Les Merveilles de la science, 1867 - 1891, Tome 1."
Chaudières. — Dans les premières machines à vapeur, c’est-à-dire dans celles de Savery et de Newcomen, on donnait à la chaudière une forme demi-sphérique.
Source :http://wbraga.usuarios.rdc.puc-rio.br/fentran/termo/hist4.htm
Comme à cette époque la crainte de l’explosion préoccupait avant tout, cette forme avait été choisie comme offrant le plus de résistance à la pression de la vapeur. Mais plus tard, quand la crainte du danger s’affaiblit par l’habitude ; lorsque l’expérience eut fait connaître la résistance précise offertepar un métal à une épaisseur donnée, on abandonna la forme sphérique, qui, à volume égal, offre le moins de surface. Les chaudières de Watt, communément appelées chaudières prismatiques ou à tombeau, étaient concaves par le fond, cylindriques à la partie supérieure, et verticales sur les côtés. Watt avait adopté la forme concave pour la partie inférieure de ses chaudières, parce qu’il pouvait ainsi augmenter l’étendue de la surface soumise à Faction du feu. Ces sortes de chaudières sont encore employées quelquefois aujourd’hui, lorsque la tension de la vapeur ne doit pas dépasser deux atmosphères.